Mots clefs
école de terrain virtuel, hyperpaysage, géologie
TPE, TIPE, projet pédagogique
éducation à l'environnement, développement
durable
* Qu'est-ce qu'un hyperpaysage ? *
(voir exemple en géologie : Etna,
Valle del Bove)
Le terme "hyperpaysage"
se réfère à des termes tels que "hypertextualité"
ou "hypermédia". Le préfixe "hyper"
marque le caractère multidimensionnel, articulé et virtuel
de ces nouveaux concepts. Ainsi, un hypertexte se différencie d'un
simple texte par le mode de navigation qu'il permet : un mot, une locution,
envoie le lecteur vers une autre partie du document. Un hypermédia
intègre à l'hypertexte des séquences provenant de
différents supports (images fixes ou animées, sons, espaces
3D). Un peu à la manière des poupées russes emboîtées,
un hyperdocument n'est donc pas accessible d'emblée dans sa totalité.
Il faut que le visiteur ouvre les portes d'accès. Le point de départ
du document en constitue le premier niveau. Les liens qu'il contient mènent
au deuxième niveau, qui peut également contenir des liens
menant à un troisième niveau ou revenant au premier,
Ce sont ces différents niveaux d'accès qui constituent le
caractère multidimensionnel du document. Il ne devient "hyper"
que si ces différents niveaux sont reliés entre eux. L'hyperdocument
est virtuel : il n'existe que si quelqu'un active les liens qu'il contient,
réalisant ainsi une ou plusieurs de ses potentialités à
un instant donné.
Un hyperpaysage
panoramique est un document réalisé à partir
de photographies prises à 360°. Celles-ci sont assemblées
par un logiciel et cette composition permet de naviguer dans les trois
dimensions de l'espace. Comme n'importe quelle image dans une page web,
ce paysage peut aussi s'animer : des zones de l'image peuvent être
sélectionnées et rendues "sensibles" par la création
d'un lien vers d'autres documents. Le paysage devient "cliquable"
et donne accès à un texte, une image, une carte, une interview,
une question, etc. Il devient donc possible de voyager dans ce panorama,
d'y entrer pour l'explorer de manière interactive.
Le schéma ci-dessous donne à
voir l'architecture en deux dimensions d'un hyperpaysage
interactif réalisé à Liège. Chaque
zone sensible est identifiée par une étiquette, qui apparaît
lorsque le curseur passe sur la zone sensible, et qui s'éclipse
une fois qu'il en sort (en anglais : "mouse over"). Les zones
sensibles ouvrent de nouvelles pages, pouvant contenir du texte informatif,
des images et même d'autres hyperpaysages panoramiques. Ces pages
peuvent elles-mêmes renvoyer vers d'autres pages avec des liens
croisés.

Cliquez
pour accèder à cet hyperpaysage interactif
* Aide technique
et informatique à la réalisation d'un hyperpaysage *
* Une architecture
complexe *
Les hyperpaysages peuvent devenir des documents
quantitativement très importants, reliant entre elles plusieurs
dizaines de pages, sans compter les liens vers des pages de sites Web.
Leur architecture peut être de deux types :
- une architecture arborescente,
en mode "tournepage", où les informations sont hiérarchisées
et le mode de parcours descendant. L'interactivité est alors
très limitée et le mode de lecture relativement linéaire;
- une architecture combinatoire,
avec des parcours à choix multiples, invitant à une
lecture non linéaire du document (exemple ci-dessus de l'hyperpaysage
interactif réalisé à Liège
* Hyperpaysage et enseignement
*
L'exemple ci-dessus montre ce qu'un hyperpaysage
offre comme possibilités
pédagogiques, tout en prenant en compte les impératifs
techniques des établissements scolaires. Au niveau du contenu,
les auteurs proposent ici une découverte du paysage susceptible
d'enrichir les démarches éducatives concernant la sensibilisation
à l'aménagement du territoire, à l'environnement
et au développement durable. La découverte du paysage met
en évidence différents points de vue sur ce même paysage,
faisant apparaître le poids de l'histoire, la complexité
des problèmes qui se posent, ainsi que l'interdépendance
et les rapports entre les différents constituants du paysage.
Sur le plan méthodologique,
la lecture ou l'écriture d'hyperpaysages peuvent constituer un
complément à exploiter en amont ou en aval d'une Ecole
de Terrain (classe de Première S) ou dans le cadre de
travaux de TPE en lycée ou de TIPE en Classe Préparatoire
aux Grandes Ecoles.
Ces productions illustrent aussi comment on peut s'adresser à des
publics de sensibilités différentes, en combinant émotions
esthétiques, connaissances scientifiques pluridisciplinaires, découvertes
intuitives, rencontres, questionnements, recherches de liens,
* Les étapes d'une démarche
avec les élèves... *
-
L'élaboration du projet : il faut décider
du lieu où seront prises les photographies, du regard à
porter sur le lieu et de la problématique à envisager.
Cette étape peut démarrer de deux manières :
soit partir d'une problématique et rechercher des lieux permettant
de l'illustrer, soit partir des lieux et s'interroger ensuite.
-
Les prises de vues : il faut sélectionner
soigneusement l'endroit d'où les photos pour le panoramique
seront prises, en tenant compte des "clics" envisagés
dans le scénario. Prendre une douzaine de photos pour un panoramique
à 360°, avec un taux de recouvrement d'environ 30 %.
-
-
La création d'une ébauche de scénario
: une fois le panoramique imprimé sur une bandelette de papier
(format A3 de préférence), les élèves
peuvent déjà créer une ébauche de scénario
ou même un scénario complexe en fonction du temps dont
ils disposent. Afin d'organiser au mieux le travail et de bien visualiser
les liens et nuds d'information, l'utilisation de cordons de
couleurs et de petits cartons peut être très utile. En
fonction des "clics" qu'ils imaginent, les élèves
établissent un lien (cordon) entre le panoramique et leur nud
d'information (petit carton) qui peut lui-même être relié
à un autre nud. Les différentes couleurs représentent
la nature des liens. Les élèves doivent aussi réfléchir
aux types de liens qu'ils créent. Cette façon de travailler
permet de visualiser de façon concrète l'organisation
de leur réflexion. Cette étape comprend la récolte
d'informations, l'écriture des textes et la mise en forme générale
du scénario, ainsi que la recherche ou la création d'autres
documents. Un scénario plus précis va se construire
progressivement : plus le lieu est appréhendé et observé,
plus des idées de liens apparaissent et se concrétisent.
* Contraintes pour l'écriture
du scénario et de l'architecture du site *
Afin de baliser le travail des élèves,
il est nécessaire de fixer un certain nombre de contraintes techniques
:
- limiter le nombre de liens dans les panoramiques (environ
5) et le nombre de niveaux de profondeur (3 maximum, y compris le
panoramique de départ),
- limiter le nombre de pages au total,
- limiter les textes par page à 300 signes (norme
généralement admise pour ne pas lasser le visiteur),
- encourager la composition d'une architecture
combinatoire plutôt qu'arborescente
Pour les apprentissages techniques et la
réalisation informatique de l'hyperpaysage, il s'agit essentiellement
d'apprendre à assembler des photographies
en paysage panoramique, de créer des liens
à l'intérieur d'un panoramique et de créer des
pages Web.
Pour la mise en ligne de la production,
plusieurs formules sont possibles :
* Estimation du temps nécessaire
à la réalisation d'un projet d'hyperpaysage : 20 heures
*
Pour atteindre les objectifs majeurs visés
par la construction d'hyperpaysages, les phases "prises de vues"
et "écriture du scénario" sont déterminantes.
Bien entendu, ce travail d'écriture est susceptible d'avoir une
durée extensible en fonction de l'ampleur du projet, mais au vu
des expérimentations réalisées dans le secondaire,
il doit être possible d'atteindre un résultat satisfaisant
avec un minimum de 10 heures de travail, incluant la saisie des textes
à l'ordinateur.
En ce qui concerne la réalisation
informatique de la production, les objectifs auxiliaires d'acquisition
de savoir-faire technique et/ou artistique contraignent le dispositif
et la durée de travail. Les pré-acquis techniques hétérogènes
des élèves nécessitent le plus souvent un apprentissage
différencié que l'enseignant peut adapter au gré
des développements pratiques à mettre en oeuvre pour l'accomplissement
du projet. Sur ce plan, l'investissement en temps peut prendre au moins
une dizaine d'heures supplémentaires ! Cette étape suppose
aussi que les élèves aient facilement accès aux ordinateurs,
et que ceux-ci soient équipés des logiciels
adéquats.
Un
outil pour une éducation à l'environnement pour un développement
durable ?
Le fait de construire un scénario
de découverte d'un paysage pousse à s'impliquer et à
se positionner par rapport à son environnement, dès qu'arrive
le moment où l'on est confronté à des questions fondamentales
du genre : "qu'est-ce que je souhaite exprimer ?", "qu'est-ce
qui pourrait bien intéresser les éventuels visiteurs de
mon hyperpaysage ?", "en quoi mon hyperpaysage propose-t-il
une lecture originale de l'environnement ?", etc
Le fait de chercher à profiter pleinement de la possibilité
de créer des liens multiples entre les nuds d'information
participe à l'installation d'un schéma de pensée
plus complexe que le schéma linéaire habituel.
La mise en ligne sur le Web des productions des élèves a
pour principal atout d'enrichir une production à valeur pédagogique
d'une dimension sociale. En effet, construire une représentation
originale dun espace de vie dans une perspective de communication
suppose à la fois de sapproprier cet espace et de sinterroger
sur la façon dont une autre personne pourrait se lapproprier.
Cette double démarche favorise la prise de distance par rapport
à ses propres perceptions et louverture aux modes de perception
et de pensée des autres.
Enfin, si l'on envisage une production collective intégrée,
où différents producteurs (personnes ou sous-groupes) ont
comme contrainte de relier leurs hyperpaysages, le projet acquiert une
dimension supplémentaire, à différents niveaux :
établir des liens dans un espace plus grand, enrichir ses représentations;
acquérir des compétences collectives comme négocier
la structure de la production informatique, confronter ses représentations
et ses valeurs, se mettre d'accord sur un scénario, sur un message,
...
-
De jeunes
citoyens réalisateurs plutôt que consommateurs...
Sur le plan méthodologique, si la navigation
dans des hyperpaysages peut être utilisée comme outil
de sensibilisation, c'est surtout leur réalisation qui est
recommandée comme démarche d'apprentissage. En effet,
élaborer un hyperpaysage, c'est créer un scénario
de découverte à partir d'observations de terrain et
de récoltes d'informations, réaliser les éléments
du scénario (textes, images, entretiens, vidéos,...)
et imaginer la structure qui les reliera. Il sagit donc de proposer
une interprétation du paysage et de réaliser un itinéraire
virtuel de découverte. La richesse et la complexité
de ce travail de lecture- écriture dépendent, bien entendu,
de la façon dont est perçu, vécu, analysé
et interprété ce paysage, ainsi que des objectifs pédagogiques
poursuivis. Quil soit artistique ou scientifique, le parcours
inventé va amener les auteurs à se positionner individuellement
et collectivement par rapport à lenvironnement et à
construire ensemble du sens.
-
Une
modification durable du regard sur le paysage...
Le fait de créer des panoramiques induit
une attitude peu habituelle : celle de prendre en compte l'entièreté
de l'environnement, au sens de "tout ce qui nous entoure",
d'avoir une saisie perceptive dans toutes les directions de l'espace,
d'abord sur le terrain, puis virtuellement. Cette "immersion"
peut avoir un double effet si elle est pratiquée régulièrement
: elle participe directement à l'ancrage du schéma corporel
dans l'espace; elle peut induire indirectement une manière
de se situer dans le monde, avec les autres ou face à un problème,
en prenant l'habitude d'en "faire le tour" plutôt
que de se contenter d'une vision unidirectionnelle. Ce dernier point
suppose sans doute que la démarche soit conscientisée.
Par ailleurs, le fait d'envisager les "clics" possibles
est extrêmement fertile : on est amené à s'interroger
sur le lieu, à décrypter l'espace, à laisser
courir son imagination et à se laisser capter par mille et
une choses. Le paysage devient un interlocuteur qui a des choses à
dire, dont on interprète les signes et à qui on peut
faire dire des choses.
Enfin, la sélection des lieux où réaliser les
panoramiques, à savoir des panoramas qui offriront un grand
nombre de zones sensibles pour illustrer le propos choisi, pousse
l'observateur à percevoir la complexité d'un paysage
et à découvrir les multiples aspects qu'il est possible
d'aborder à partir d'un même lieu d'observation.
-
Sur
le plan du contenu,
vers une approche de l'interdisciplinarité..
Sur le plan du contenu, il faut encourager
une approche du paysage qui mette en évidence l'existence de
différents points de vue sur celui-ci, en fonction de l'observateur,
ainsi que le fait qu'il peut être analysé sous divers
aspects (approche interdisciplinaire).
Pour marquer concrètement cette démarche, on peut demander
aux élèves de choisir un fond de page de couleur différente,
selon les aspects ou les points de vue abordés et afin de mettre
en évidence l'existence d'éventuels débats entre
experts ou dans la société. L'approche
systémique du paysage, quant à
elle, consiste à faire apparaître les relations d'interdépendance
entre les éléments (objets, idées, sentiments,
émotions, phénomènes, etc.). Une des caractéristiques
des documents hypertextuels est de proposer une forme de lecture-écriture
qui permette de traduire la complexité de ces relations par
l'intégration de multiples liens entre les différents
documents (ou éléments) d'un même corpus ou encore
avec les documents d'un autre corpus (liens vers des pages Web d'autres
sites). Nous pouvons exploiter cette possibilité technique
pour faire apparaître le type de relation (linéaire ou
systémique) qui lie les éléments entre eux et
renforcer la visibilité de la structure obtenue par un système
de codes appropriés, à apposer sur chaque page, comme
suggéré ci-dessous.

-
Une
approche culturelle du paysage...
Il ne faut pas oublier qu'il existe des interprétations culturelles
du paysage. "Certaines portions de l'espace, certains lieux,
sont plus chargés de sens que d'autres", P.
Claval. En géographie, l'approche culturelle du paysage
part du principe que ce n'est pas le paysage tel qu'il est que nous
pouvons appréhender, mais bien celui que nous percevons au
travers de filtres culturels. C'est en ce sens que l'on peut parler
de paysage "virtuel", lorsqu'on construit un hyperpaysage
: il nous informe surtout sur l'observateur qui regarde ce paysage,
sur sa manière de le percevoir, de le vivre et de le charger
de significations. Une approche culturelle du paysage en pédagogie
aurait donc pour but d'apprendre à mieux cerner nos propres
cadres de références, en tant qu'individu ou groupe
social porteur de cultures. Cette approche devient par là même
une voie pour développer la prise de conscience, la connaissance
et la sensibilisation à notre "être au monde".
TECHNOLOGIQUEMENT
PARLANT...
voir également notre tutorial simplifié
* Comment
assembler les photos ? *
L'idéal est de pouvoir travailler
avec un appareil photo numérique, même si le transfert de
photos argentiques sur support informatique est toujours possible. En
ce qui concerne l'assemblage panoramique des photos, près d'une
vingtaine de solutions informatiques ont été recensées
et testées. Une de celles qui donnait le meilleur rapport qualité/
prix a été retenue. La solution logicielle choisie, Photostitch,
est proposée sur le marché en équipement standard
pour Mac et PC, accompagnant les appareils photographiques numériques
de marque CANON. L'assemblage de photos couvrant 360° prend quelques
minutes. C'est bien entendu tout le travail en amont qui peut prendre
un temps très variable (prise en main de l'appareil photo, sélection
du lieu, retouche des photos, prise de vue, etc.) et qui dépend
du niveau de qualité que l'on recherche.
* Comment visualiser l'hyperpaysage
panoramique ? *
Notre solution passe par la création
de pages web dans lesquelles est incrusté une appliquette JAVA.
Cette appliquette est disponible chez duckware, sous l'appellation "PMVR"
(Patented Mappable Virtual Reality); la licence pour une utilisation
pédagogique coûte moins de 34 €. Un de nos critères
de sélection, outre le prix et la facilité de mise en uvre
de cet applet, est l'usage concommittant d'un applet de visualisation
cartographique de l'espace balayé en cours de navigation (Applet
FloorPlan.class). Toute information utile sur les logiciels existants
se trouve sur le site www.panoguide.com.
* Mise en page
et mise en ligne... *
Le produit final se monte en pages web
sous langage HTML. Tout éditeur de page HTML est exploitable pour
ce travail. C'est au stade d'édition et de mise en page que s'établissent
les fonctions interactives de navigation hypermédiatique (liens
HTML). En effet, l'applet PMVR
permet d'isoler dans l'image panoramique défilante des zones sensibles,
identifiables lors de la visualisation à l'écran par des
étiquettes escamotables sur lesquelles l'observateur peut éventuellement
cliquer pour le renvoyer vers d'autres documents.
L'implémentation de ces fonctions
se réalise, elle, en code source, et nécessite donc de la
part des réalisateurs de connaître un tant soit peu l'envers
du décor d'une page Web.
Tous ces éléments de navigation
utilisables grâce à l'applet
PMVR permettent de relier, en les identifiant d'emblée, des
éléments sélectionnés constitutifs du parcours
de découverte du paysage. Ils peuvent aussi être utilisés
à d'autres fins pédagogiques. Ainsi, les étiquettes
peuvent servir à nommer les éléments, à interpeller
l'observateur, à poser une question,...
* Création d'une cellule d'assistance
technique et pédagogique pour les enseignants *
La réalisation informatique de la
production repose aussi sur une formation adaptée des enseignants.
Conscients du fait que cette étape technique risque de constituer
un obstacle majeur susceptible de décourager bon nombre d'enseignants,
les membres des comités d'accompagnement des projets "Hyperpaysages"
ont créé une cellule technique et pédagogique qui
pourrait aider les enseignants à réaliser des hyperpaysages
avec leurs élèves. Mise en place par l'Institut d'Eco- Pédagogie.
Des formations à la construction dhyperpaysages sont également
prévues. Pour tout renseignement à ce sujet, contactez lInstitut
dEco-Pédagogie : www.ful.ac.be/hotes/iep/hyperpaysages
Bibliographie
pour aller plus loin...
- 1996. Etat de l'environnement wallon. Paysages, Direction
Générale des Ressources Naturelles et de l'Environnement,
Région wallonne. Document consultable en pdf à l'adresse
suivante : http://environnement.wallonie.be
- J. AUDRAN, 1999. Construire un site web à l'école
: un bricolage pédagogique ?, Revue de l'EPI, n° 95, pp.115-122,
www.jacques.audran.net/articles
- H. CHOPLIN, A. GALISSON, S. LEMARCHAND, 1998. Hypermédias
et pédagogie : comment promouvoir lactivité de lélève
?, éd. J.-F. ROUET et B. de LA PASSARDIERE, Poitiers.
- P. CLAVAL, 1999. L'approche culturelle en géographie.
Bull. de la Société Géographique de Liège,
Vol. 36, pp. 5-15.
- P. CLAVAL, 2000. Les géographes, le paysage et
la modernisation, Actes du Colloque de l'UGI à Séoul,
pp. 1-9.
- M. ERICX et C. PARTOUNE, 2001. Hyperpaysages et éducation
à lenvironnement, rapports de recherche sous la Direction
Générale des Ressources Naturelles et de lEnvironnement
pour la Région Wallonne. IEP, www.ful.ac.be/hotes/iep
- H. HUSTACHE-GODINET, 1998. Lire et écrire des
hypertextes, Septentrion, Villeneuve d'Ascq. Site web sur l'hypertexte
:
www.grenoble.iufm.fr/departe/francais/hypertxt/default.htm
- P. LEVY, 1998. Quest-ce que le virtuel ?, La Découverte/Poche
Essais, Paris.
- P. MADIOT, 1999. Savoir inventer ce que lon voit,
Cahiers pédagogiques Décrire dans toutes les disciplines,
n° 373, Paris, pp. 26-27.
- B. MERENNE-SCHOUMAKER, 1987. Lire les paysages : proposition
d'une grille méthodologique à l'usage des étudiants
du secondaire. Bull. de la Société géographique
de Liège, n° 8, pp. 88-99.
- J.-P. OBIN, 2000. Questions pour l'éducation
civique - former des citoyens, Hachette éducation.
- C. PARTOUNE, 1999. Activités interdisciplinaires
- Hyperpaysages, Recherche sur les compétences terminales, Ministère
de la Recherche, de l'Education et de la Formation, Bruxelles, www.ulg.ac.be/geoeco/lmg/competences/activites/hyperpaysages.html
- P. PINCHEMEL et al., 1987. Lire les paysages, Documentation
photographique, dossier n° 6088, La Documentation française,
Paris.
- RINAUDO J.-L., 1999. Lire et écrire des hyperdocuments
au cycle III : quels intérêts ?, Revue de l'EPI, n°
93, www.epi.asso.fr/revue/93/b93p151.htm
- M. WEISSER, 2001. Pédagogie du projet et Technologies
de l'Information et de la Communication - Fabriquer un Cédérom
au CM2, Revue de l'EPI n° 101, www.epi.asso.fr/revue/101/ba1p145.htm
Geodynamica
Publishing, octobre 2003 |