Les hyperpaysages panoramiques
une utilisation pédagogique originale des outils multimédias et de l’Internet

Dernière mise à jour : 3 juillet, 2008

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d'après Michel Ericx, Christine Partoune et Marie Pirenne
(Adaptation équipe GEODYNAMICA)

D'après la brochure pdf coproduite par l'Institut d'Eco-Pédagogie et le Laboratoire de Méthodologie de la Géographie de l'Université de Liège

De nombreux sites Web proposent des panoramiques
par exemple le site Outline : www.outline.be/quicktime/panoramas.html

voir aussi le travail de recherche de :

Jacques Courivaud, Association Quartz IUFM de Limoges :
Lecture d'hyperpaysages et échanges collaboratifs inter-écoles à la recherche d'une géologie cachée

Eric Sanchez, Benoit Urgelli, Equipe ACCES, INRP de Lyon
Les hyperpaysages panoramiques, CNDP, mai 2004


Mots clefs
école de terrain virtuel, hyperpaysage, géologie
TPE, TIPE, projet pédagogique

éducation à l'environnement, développement durable

* Qu'est-ce qu'un hyperpaysage ? *
(voir exemple en géologie : Etna, Valle del Bove)

Le terme "hyperpaysage" se réfère à des termes tels que "hypertextualité" ou "hypermédia". Le préfixe "hyper" marque le caractère multidimensionnel, articulé et virtuel de ces nouveaux concepts. Ainsi, un hypertexte se différencie d'un simple texte par le mode de navigation qu'il permet : un mot, une locution, envoie le lecteur vers une autre partie du document. Un hypermédia intègre à l'hypertexte des séquences provenant de différents supports (images fixes ou animées, sons, espaces 3D). Un peu à la manière des poupées russes emboîtées, un hyperdocument n'est donc pas accessible d'emblée dans sa totalité. Il faut que le visiteur ouvre les portes d'accès. Le point de départ du document en constitue le premier niveau. Les liens qu'il contient mènent au deuxième niveau, qui peut également contenir des liens menant à un troisième niveau ou revenant au premier, … Ce sont ces différents niveaux d'accès qui constituent le caractère multidimensionnel du document. Il ne devient "hyper" que si ces différents niveaux sont reliés entre eux. L'hyperdocument est virtuel : il n'existe que si quelqu'un active les liens qu'il contient, réalisant ainsi une ou plusieurs de ses potentialités à un instant donné.

Un hyperpaysage panoramique est un document réalisé à partir de photographies prises à 360°. Celles-ci sont assemblées par un logiciel et cette composition permet de naviguer dans les trois dimensions de l'espace. Comme n'importe quelle image dans une page web, ce paysage peut aussi s'animer : des zones de l'image peuvent être sélectionnées et rendues "sensibles" par la création d'un lien vers d'autres documents. Le paysage devient "cliquable" et donne accès à un texte, une image, une carte, une interview, une question, etc. Il devient donc possible de voyager dans ce panorama, d'y entrer pour l'explorer de manière interactive.

* Un bel exemple d'hyperpaysage interactif réalisé par la ville de Liège *

Le schéma ci-dessous donne à voir l'architecture en deux dimensions d'un hyperpaysage interactif réalisé à Liège. Chaque zone sensible est identifiée par une étiquette, qui apparaît lorsque le curseur passe sur la zone sensible, et qui s'éclipse une fois qu'il en sort (en anglais : "mouse over"). Les zones sensibles ouvrent de nouvelles pages, pouvant contenir du texte informatif, des images et même d'autres hyperpaysages panoramiques. Ces pages peuvent elles-mêmes renvoyer vers d'autres pages avec des liens croisés.

Cliquez pour accéder à cet hyperpaysage
Cliquez pour accèder à cet hyperpaysage interactif

* Aide technique et informatique à la réalisation d'un hyperpaysage *

* Une architecture complexe *

Les hyperpaysages peuvent devenir des documents quantitativement très importants, reliant entre elles plusieurs dizaines de pages, sans compter les liens vers des pages de sites Web. Leur architecture peut être de deux types :

  • une architecture arborescente, en mode "tournepage", où les informations sont hiérarchisées et le mode de parcours descendant. L'interactivité est alors très limitée et le mode de lecture relativement linéaire;
  • une architecture combinatoire, avec des parcours à choix multiples, invitant à une lecture non linéaire du document (exemple ci-dessus de l'hyperpaysage interactif réalisé à Liège

* Hyperpaysage et enseignement *

L'exemple ci-dessus montre ce qu'un hyperpaysage offre comme possibilités pédagogiques, tout en prenant en compte les impératifs techniques des établissements scolaires. Au niveau du contenu, les auteurs proposent ici une découverte du paysage susceptible d'enrichir les démarches éducatives concernant la sensibilisation à l'aménagement du territoire, à l'environnement et au développement durable. La découverte du paysage met en évidence différents points de vue sur ce même paysage, faisant apparaître le poids de l'histoire, la complexité des problèmes qui se posent, ainsi que l'interdépendance et les rapports entre les différents constituants du paysage.

Sur le plan méthodologique, la lecture ou l'écriture d'hyperpaysages peuvent constituer un complément à exploiter en amont ou en aval d'une Ecole de Terrain (classe de Première S) ou dans le cadre de travaux de TPE en lycée ou de TIPE en Classe Préparatoire aux Grandes Ecoles.

Ces productions illustrent aussi comment on peut s'adresser à des publics de sensibilités différentes, en combinant émotions esthétiques, connaissances scientifiques pluridisciplinaires, découvertes intuitives, rencontres, questionnements, recherches de liens,…

* Les étapes d'une démarche avec les élèves... *

  • L'élaboration du projet : il faut décider du lieu où seront prises les photographies, du regard à porter sur le lieu et de la problématique à envisager. Cette étape peut démarrer de deux manières : soit partir d'une problématique et rechercher des lieux permettant de l'illustrer, soit partir des lieux et s'interroger ensuite.
  • Les prises de vues : il faut sélectionner soigneusement l'endroit d'où les photos pour le panoramique seront prises, en tenant compte des "clics" envisagés dans le scénario. Prendre une douzaine de photos pour un panoramique à 360°, avec un taux de recouvrement d'environ 30 %.
  • La création d'un panoramique : de retour en classe, les élèves assemblent les photographies à l'aide d'un logiciel. On peut aussi utiliser une formule plus classique, en juxtaposant des photos papier manuellement.
  • La création d'une ébauche de scénario : une fois le panoramique imprimé sur une bandelette de papier (format A3 de préférence), les élèves peuvent déjà créer une ébauche de scénario ou même un scénario complexe en fonction du temps dont ils disposent. Afin d'organiser au mieux le travail et de bien visualiser les liens et nœuds d'information, l'utilisation de cordons de couleurs et de petits cartons peut être très utile. En fonction des "clics" qu'ils imaginent, les élèves établissent un lien (cordon) entre le panoramique et leur nœud d'information (petit carton) qui peut lui-même être relié à un autre nœud. Les différentes couleurs représentent la nature des liens. Les élèves doivent aussi réfléchir aux types de liens qu'ils créent. Cette façon de travailler permet de visualiser de façon concrète l'organisation de leur réflexion. Cette étape comprend la récolte d'informations, l'écriture des textes et la mise en forme générale du scénario, ainsi que la recherche ou la création d'autres documents. Un scénario plus précis va se construire progressivement : plus le lieu est appréhendé et observé, plus des idées de liens apparaissent et se concrétisent.

* Contraintes pour l'écriture du scénario et de l'architecture du site *

Afin de baliser le travail des élèves, il est nécessaire de fixer un certain nombre de contraintes techniques :

  • limiter le nombre de liens dans les panoramiques (environ 5) et le nombre de niveaux de profondeur (3 maximum, y compris le panoramique de départ),
  • limiter le nombre de pages au total,
  • limiter les textes par page à 300 signes (norme généralement admise pour ne pas lasser le visiteur),
  • encourager la composition d'une architecture combinatoire plutôt qu'arborescente

Pour les apprentissages techniques et la réalisation informatique de l'hyperpaysage, il s'agit essentiellement d'apprendre à assembler des photographies en paysage panoramique, de créer des liens à l'intérieur d'un panoramique et de créer des pages Web.

Pour la mise en ligne de la production, plusieurs formules sont possibles :

* Estimation du temps nécessaire à la réalisation d'un projet d'hyperpaysage : 20 heures *

Pour atteindre les objectifs majeurs visés par la construction d'hyperpaysages, les phases "prises de vues" et "écriture du scénario" sont déterminantes. Bien entendu, ce travail d'écriture est susceptible d'avoir une durée extensible en fonction de l'ampleur du projet, mais au vu des expérimentations réalisées dans le secondaire, il doit être possible d'atteindre un résultat satisfaisant avec un minimum de 10 heures de travail, incluant la saisie des textes à l'ordinateur.

En ce qui concerne la réalisation informatique de la production, les objectifs auxiliaires d'acquisition de savoir-faire technique et/ou artistique contraignent le dispositif et la durée de travail. Les pré-acquis techniques hétérogènes des élèves nécessitent le plus souvent un apprentissage différencié que l'enseignant peut adapter au gré des développements pratiques à mettre en oeuvre pour l'accomplissement du projet. Sur ce plan, l'investissement en temps peut prendre au moins une dizaine d'heures supplémentaires ! Cette étape suppose aussi que les élèves aient facilement accès aux ordinateurs, et que ceux-ci soient équipés des logiciels adéquats.

Un outil pour une éducation à l'environnement pour un développement durable ?

Le fait de construire un scénario de découverte d'un paysage pousse à s'impliquer et à se positionner par rapport à son environnement, dès qu'arrive le moment où l'on est confronté à des questions fondamentales du genre : "qu'est-ce que je souhaite exprimer ?", "qu'est-ce qui pourrait bien intéresser les éventuels visiteurs de mon hyperpaysage ?", "en quoi mon hyperpaysage propose-t-il une lecture originale de l'environnement ?", etc…

Le fait de chercher à profiter pleinement de la possibilité de créer des liens multiples entre les nœuds d'information participe à l'installation d'un schéma de pensée plus complexe que le schéma linéaire habituel.

La mise en ligne sur le Web des productions des élèves a pour principal atout d'enrichir une production à valeur pédagogique d'une dimension sociale. En effet, construire une représentation originale d’un espace de vie dans une perspective de communication suppose à la fois de s’approprier cet espace et de s’interroger sur la façon dont une autre personne pourrait se l’approprier. Cette double démarche favorise la prise de distance par rapport à ses propres perceptions et l’ouverture aux modes de perception et de pensée des autres.

Enfin, si l'on envisage une production collective intégrée, où différents producteurs (personnes ou sous-groupes) ont comme contrainte de relier leurs hyperpaysages, le projet acquiert une dimension supplémentaire, à différents niveaux : établir des liens dans un espace plus grand, enrichir ses représentations; acquérir des compétences collectives comme négocier la structure de la production informatique, confronter ses représentations et ses valeurs, se mettre d'accord sur un scénario, sur un message, ...

  • De jeunes citoyens réalisateurs plutôt que consommateurs...
    Sur le plan méthodologique, si la navigation dans des hyperpaysages peut être utilisée comme outil de sensibilisation, c'est surtout leur réalisation qui est recommandée comme démarche d'apprentissage. En effet, élaborer un hyperpaysage, c'est créer un scénario de découverte à partir d'observations de terrain et de récoltes d'informations, réaliser les éléments du scénario (textes, images, entretiens, vidéos,...) et imaginer la structure qui les reliera. Il s’agit donc de proposer une interprétation du paysage et de réaliser un itinéraire virtuel de découverte. La richesse et la complexité de ce travail de lecture- écriture dépendent, bien entendu, de la façon dont est perçu, vécu, analysé et interprété ce paysage, ainsi que des objectifs pédagogiques poursuivis. Qu’il soit artistique ou scientifique, le parcours inventé va amener les auteurs à se positionner individuellement et collectivement par rapport à l’environnement et à construire ensemble du sens.
  • Une modification durable du regard sur le paysage...
    Le fait de créer des panoramiques induit une attitude peu habituelle : celle de prendre en compte l'entièreté de l'environnement, au sens de "tout ce qui nous entoure", d'avoir une saisie perceptive dans toutes les directions de l'espace, d'abord sur le terrain, puis virtuellement. Cette "immersion" peut avoir un double effet si elle est pratiquée régulièrement : elle participe directement à l'ancrage du schéma corporel dans l'espace; elle peut induire indirectement une manière de se situer dans le monde, avec les autres ou face à un problème, en prenant l'habitude d'en "faire le tour" plutôt que de se contenter d'une vision unidirectionnelle. Ce dernier point suppose sans doute que la démarche soit conscientisée.
    Par ailleurs, le fait d'envisager les "clics" possibles est extrêmement fertile : on est amené à s'interroger sur le lieu, à décrypter l'espace, à laisser courir son imagination et à se laisser capter par mille et une choses. Le paysage devient un interlocuteur qui a des choses à dire, dont on interprète les signes et à qui on peut faire dire des choses.
    Enfin, la sélection des lieux où réaliser les panoramiques, à savoir des panoramas qui offriront un grand nombre de zones sensibles pour illustrer le propos choisi, pousse l'observateur à percevoir la complexité d'un paysage et à découvrir les multiples aspects qu'il est possible d'aborder à partir d'un même lieu d'observation.
  • Sur le plan du contenu, vers une approche de l'interdisciplinarité..
    Sur le plan du contenu, il faut encourager une approche du paysage qui mette en évidence l'existence de différents points de vue sur celui-ci, en fonction de l'observateur, ainsi que le fait qu'il peut être analysé sous divers aspects (approche interdisciplinaire). Pour marquer concrètement cette démarche, on peut demander aux élèves de choisir un fond de page de couleur différente, selon les aspects ou les points de vue abordés et afin de mettre en évidence l'existence d'éventuels débats entre experts ou dans la société. L'approche systémique du paysage, quant à elle, consiste à faire apparaître les relations d'interdépendance entre les éléments (objets, idées, sentiments, émotions, phénomènes, etc.). Une des caractéristiques des documents hypertextuels est de proposer une forme de lecture-écriture qui permette de traduire la complexité de ces relations par l'intégration de multiples liens entre les différents documents (ou éléments) d'un même corpus ou encore avec les documents d'un autre corpus (liens vers des pages Web d'autres sites). Nous pouvons exploiter cette possibilité technique pour faire apparaître le type de relation (linéaire ou systémique) qui lie les éléments entre eux et renforcer la visibilité de la structure obtenue par un système de codes appropriés, à apposer sur chaque page, comme suggéré ci-dessous.

  • Une approche culturelle du paysage...
    Il ne faut pas oublier qu'il existe des interprétations culturelles du paysage. "Certaines portions de l'espace, certains lieux, sont plus chargés de sens que d'autres", P. Claval. En géographie, l'approche culturelle du paysage part du principe que ce n'est pas le paysage tel qu'il est que nous pouvons appréhender, mais bien celui que nous percevons au travers de filtres culturels. C'est en ce sens que l'on peut parler de paysage "virtuel", lorsqu'on construit un hyperpaysage : il nous informe surtout sur l'observateur qui regarde ce paysage, sur sa manière de le percevoir, de le vivre et de le charger de significations. Une approche culturelle du paysage en pédagogie aurait donc pour but d'apprendre à mieux cerner nos propres cadres de références, en tant qu'individu ou groupe social porteur de cultures. Cette approche devient par là même une voie pour développer la prise de conscience, la connaissance et la sensibilisation à notre "être au monde".

TECHNOLOGIQUEMENT PARLANT...
voir également notre tutorial simplifié

* Comment assembler les photos ? *

L'idéal est de pouvoir travailler avec un appareil photo numérique, même si le transfert de photos argentiques sur support informatique est toujours possible. En ce qui concerne l'assemblage panoramique des photos, près d'une vingtaine de solutions informatiques ont été recensées et testées. Une de celles qui donnait le meilleur rapport qualité/ prix a été retenue. La solution logicielle choisie, Photostitch, est proposée sur le marché en équipement standard pour Mac et PC, accompagnant les appareils photographiques numériques de marque CANON. L'assemblage de photos couvrant 360° prend quelques minutes. C'est bien entendu tout le travail en amont qui peut prendre un temps très variable (prise en main de l'appareil photo, sélection du lieu, retouche des photos, prise de vue, etc.) et qui dépend du niveau de qualité que l'on recherche.

* Comment visualiser l'hyperpaysage panoramique ? *

Notre solution passe par la création de pages web dans lesquelles est incrusté une appliquette JAVA. Cette appliquette est disponible chez duckware, sous l'appellation "PMVR" (Patented Mappable Virtual Reality); la licence pour une utilisation pédagogique coûte moins de 34 €. Un de nos critères de sélection, outre le prix et la facilité de mise en œuvre de cet applet, est l'usage concommittant d'un applet de visualisation cartographique de l'espace balayé en cours de navigation (Applet FloorPlan.class). Toute information utile sur les logiciels existants se trouve sur le site www.panoguide.com.

* Mise en page et mise en ligne... *

Le produit final se monte en pages web sous langage HTML. Tout éditeur de page HTML est exploitable pour ce travail. C'est au stade d'édition et de mise en page que s'établissent les fonctions interactives de navigation hypermédiatique (liens HTML). En effet, l'applet PMVR permet d'isoler dans l'image panoramique défilante des zones sensibles, identifiables lors de la visualisation à l'écran par des étiquettes escamotables sur lesquelles l'observateur peut éventuellement cliquer pour le renvoyer vers d'autres documents.

L'implémentation de ces fonctions se réalise, elle, en code source, et nécessite donc de la part des réalisateurs de connaître un tant soit peu l'envers du décor d'une page Web.

Tous ces éléments de navigation utilisables grâce à l'applet PMVR permettent de relier, en les identifiant d'emblée, des éléments sélectionnés constitutifs du parcours de découverte du paysage. Ils peuvent aussi être utilisés à d'autres fins pédagogiques. Ainsi, les étiquettes peuvent servir à nommer les éléments, à interpeller l'observateur, à poser une question,...

* Création d'une cellule d'assistance technique et pédagogique pour les enseignants *

La réalisation informatique de la production repose aussi sur une formation adaptée des enseignants. Conscients du fait que cette étape technique risque de constituer un obstacle majeur susceptible de décourager bon nombre d'enseignants, les membres des comités d'accompagnement des projets "Hyperpaysages" ont créé une cellule technique et pédagogique qui pourrait aider les enseignants à réaliser des hyperpaysages avec leurs élèves. Mise en place par l'Institut d'Eco- Pédagogie. Des formations à la construction d’hyperpaysages sont également prévues. Pour tout renseignement à ce sujet, contactez l’Institut d’Eco-Pédagogie : www.ful.ac.be/hotes/iep/hyperpaysages


Bibliographie pour aller plus loin...

  • 1996. Etat de l'environnement wallon. Paysages, Direction Générale des Ressources Naturelles et de l'Environnement, Région wallonne. Document consultable en pdf à l'adresse suivante : http://environnement.wallonie.be
  • J. AUDRAN, 1999. Construire un site web à l'école : un bricolage pédagogique ?, Revue de l'EPI, n° 95, pp.115-122, www.jacques.audran.net/articles
  • H. CHOPLIN, A. GALISSON, S. LEMARCHAND, 1998. Hypermédias et pédagogie : comment promouvoir l’activité de l’élève ?, éd. J.-F. ROUET et B. de LA PASSARDIERE, Poitiers.
  • P. CLAVAL, 1999. L'approche culturelle en géographie. Bull. de la Société Géographique de Liège, Vol. 36, pp. 5-15.
  • P. CLAVAL, 2000. Les géographes, le paysage et la modernisation, Actes du Colloque de l'UGI à Séoul, pp. 1-9.
  • M. ERICX et C. PARTOUNE, 2001. Hyperpaysages et éducation à l’environnement, rapports de recherche sous la Direction Générale des Ressources Naturelles et de l’Environnement pour la Région Wallonne. IEP, www.ful.ac.be/hotes/iep
  • H. HUSTACHE-GODINET, 1998. Lire et écrire des hypertextes, Septentrion, Villeneuve d'Ascq. Site web sur l'hypertexte : www.grenoble.iufm.fr/departe/francais/hypertxt/default.htm
  • P. LEVY, 1998. Qu’est-ce que le virtuel ?, La Découverte/Poche Essais, Paris.
  • P. MADIOT, 1999. Savoir inventer ce que l’on voit, Cahiers pédagogiques “Décrire dans toutes les disciplines”, n° 373, Paris, pp. 26-27.
  • B. MERENNE-SCHOUMAKER, 1987. Lire les paysages : proposition d'une grille méthodologique à l'usage des étudiants du secondaire. Bull. de la Société géographique de Liège, n° 8, pp. 88-99.
  • J.-P. OBIN, 2000. Questions pour l'éducation civique - former des citoyens, Hachette éducation.
  • C. PARTOUNE, 1999. Activités interdisciplinaires - Hyperpaysages, Recherche sur les compétences terminales, Ministère de la Recherche, de l'Education et de la Formation, Bruxelles, www.ulg.ac.be/geoeco/lmg/competences/activites/hyperpaysages.html
  • P. PINCHEMEL et al., 1987. Lire les paysages, Documentation photographique, dossier n° 6088, La Documentation française, Paris.
  • RINAUDO J.-L., 1999. Lire et écrire des hyperdocuments au cycle III : quels intérêts ?, Revue de l'EPI, n° 93, www.epi.asso.fr/revue/93/b93p151.htm
  • M. WEISSER, 2001. Pédagogie du projet et Technologies de l'Information et de la Communication - Fabriquer un Cédérom au CM2, Revue de l'EPI n° 101, www.epi.asso.fr/revue/101/ba1p145.htm

Geodynamica Publishing, octobre 2003